Au moins une brillante idée semble mettre d’accord tous les candidats à l’élection présidentielle : les licenciements, c’est mal.

Pour l’extrême-gauche, il faut les interdire purement et simplement (y compris donc en cas de faute personnelle). Le Front de Gauche y apporte une nuance désormais classique en démagogie électorale, en s’attaquant aux « licenciements boursiers », notion pratiquement indéfinissable et économiquement absurde. Jean-Luc Mélenchon partage en cela la rigueur conceptuelle de ses anciens camarades du PS, qui ont voté le mois dernier au Sénat en faveur d’une proposition de loi (rejetée à six voix près) sur « l’interdiction des licenciements boursiers ».

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